tonton68
2009-01-23 08:05:44 UTC
Après avoir caporalisé le PS, Martine Aubry veut conduire le pays à la
Berezina
Après la présentation par le Président de la République d'un plan de relance
sans précédent de notre économie, Martine AUBRY vient de développer au nom
du PS un « contre projet » démagogique qui ne pourrait que conduire la
France au désastre économique.
Sans originalité, elle préconise une relance tous azimuts de la consommation
expérimentée avec les résultats que l'on sait en 1981 puisqu'elle avait
finalement abouti à un accroissement considérable du déficit, à une
augmentation très importante des importations au détriment de l'emploi
français et avait finalement abouti au tournant de la rigueur en 1983.
Face a la grave crise financière que nous traversons la relance ne peut
qu'être basée sur l'offre et l'investissement tout en portant une attention
particulière aux secteurs les plus touchés tels l'automobile ou le bâtiment
et aux populations les plus fragiles en particulier grâce au nouveau revenu
de solidarité active.
En proposant de doubler le montant du plan de relance de l'état et de
supprimer les mesures fiscales sur les emprunts immobiliers et les heures
supplémentaires qui touchent essentiellement les classes moyennes, les
socialistes tiennent un double langage. Ils dénoncent d'un cote le déficit
et l'endettement de l'état pour mieux l'aggraver de l'autre.
En rejetant la proposition du premier ministre de faire l'union nationale
sur un sujet de cette importance et en revenant aux vieilles recettes
idéologiques du passe qui ont a chaque fois échoué, « la dame des 35 h »
commet ainsi sa deuxième erreur historique en oubliant que dans une économie
ouverte c'est l'entreprise qui crée de l'emploi et que l'action de l'état
doit consister à améliorer son environnement.
Décidément le PS se trompe de crise et se trompe d'époque.
Berezina
Après la présentation par le Président de la République d'un plan de relance
sans précédent de notre économie, Martine AUBRY vient de développer au nom
du PS un « contre projet » démagogique qui ne pourrait que conduire la
France au désastre économique.
Sans originalité, elle préconise une relance tous azimuts de la consommation
expérimentée avec les résultats que l'on sait en 1981 puisqu'elle avait
finalement abouti à un accroissement considérable du déficit, à une
augmentation très importante des importations au détriment de l'emploi
français et avait finalement abouti au tournant de la rigueur en 1983.
Face a la grave crise financière que nous traversons la relance ne peut
qu'être basée sur l'offre et l'investissement tout en portant une attention
particulière aux secteurs les plus touchés tels l'automobile ou le bâtiment
et aux populations les plus fragiles en particulier grâce au nouveau revenu
de solidarité active.
En proposant de doubler le montant du plan de relance de l'état et de
supprimer les mesures fiscales sur les emprunts immobiliers et les heures
supplémentaires qui touchent essentiellement les classes moyennes, les
socialistes tiennent un double langage. Ils dénoncent d'un cote le déficit
et l'endettement de l'état pour mieux l'aggraver de l'autre.
En rejetant la proposition du premier ministre de faire l'union nationale
sur un sujet de cette importance et en revenant aux vieilles recettes
idéologiques du passe qui ont a chaque fois échoué, « la dame des 35 h »
commet ainsi sa deuxième erreur historique en oubliant que dans une économie
ouverte c'est l'entreprise qui crée de l'emploi et que l'action de l'état
doit consister à améliorer son environnement.
Décidément le PS se trompe de crise et se trompe d'époque.